A la recherche des nains
Theramore, 1ereNuit :
Je suis arrivé cette nuit, le voyage depuis Menethil fût long et ennuyant mais me voila arrivé. Cette grande ville est pleine de monde et d’une architecture, la magnifique tour en son centre semble dominer la ville, bon assez écrit, c’est que les voyages ca fatigue il faut encore que je trouve une chambre pour passer la nuit, en demandant ma direction à une patrouille de gardes ils m’informent que je ferai mieux de me dépêcher car c’est bientôt l’heure de fermeture des auberges.
Theramore, 1er Jour :
J’ai eut de la chance hier soir il ne restait qu’une chambre dans l’auberge l’espace d’un instant j’ai crût que j’allais dormir dehors pas que ca me gênerai mais bon une chambre est toujours plus confortable que le sol, bon assez de parlote pour l’instant faudrait peut-être que je commence la tâche que m’ont assigné mes supérieurs.
Maintenant que j’y pense comment veulent ils que je trouve des nains desquels nous n’avons pas de nouvelles depuis si longtemps avec si peu d’informations ? Je ne sais même pas par où commencer, je croit que je vais demander à un garde où pourrais-je trouver des informations sur des visiteurs ayant séjourné ici il y a quelques années.
Le garde de ce matin m’as envoyé a l’hôtel de ville, après avoir fait la file pendant des heures j’ai pût enfin parler à un responsable, c'était un vieux qui sentait l'encre et qui n’avait pas l’air content que je sois là, je lui aie demandé si il avait des informations sur les Wildhammers ayant accompagné Jaina lors de sa traversée il y a plusieurs années, il me répondit qu’ils partirent un jour parce qu’ils ne se sentaient mal « emprisonnés entre des murs », « Tant mieux ça m’as éviter d’entendre leurs maudits griffons piailler la nuit » m’as t’il dit, l’espace d’une seconde j’ai hésiter a collé mon poing dans la figure pour avoir comparé ces nobles créatures a de vulgaires oiseaux mais pour éviter à mes supérieurs l’incident diplomatique je ne fît rien, il me conseilla de me rendre à l’Auberge du Repos Ombragés à la sortie du marécage car l’aubergiste sait qui entre et qui sort du marais du marais et par conséquent devrait savoir ou ils se sont dirigés puis il partis en maudissant tous ces gens qui l’interrompent dans sont travail. Je fis mes bagages et allas chercher mon fidèle compagnon et frère d’arme à l’écurie et prit la seule route de sortie de cet endroit.