Il y a environ 133 ans, une jeune femme du nom de Dorola, faisant partie du grand clan des Wildhammer, tomba enceinte d'un nain itinérant du nom de Domur Martelroc. Pour éviter de mettre un déshonneur sur son clan, elle décida de le quitter pour vivre avec Dormur. Ils voyagèrent partout en Azeroth, et elle accoucha une douce nuit dans une petite clairière, près de Hurlevent. Ils le nommèrent Mograd. Durant son enfance, sa mère lui raconta les exploits et la puissance de son ancien clan, les Wildhammer...
Quand il fut en age de combattre, son père lui apprit le maniement de la hache. Sa mère, quand à elle, lui apprit à s'occuper des animaux et à gagner leur confiance. D'après elle, un beau jour, il entrera dans son véritable clan. Celui des Wildhammer.
Le temps passa, et la vie avec. Dorola et Dormur moururent lors d'une attaque de la Horde vers les Tarides. Mograd eu le temps de s'enfuir et il parti vivre près de Forgefer. Il se trouva un petit refuge chez un autre nain que ses parents avait rencontrés quand il était plus jeune. En échange de l'hébergement, il devait travailler dans une mine pour son compagnon.
Un beau jour, il entendit une rumeur comme quoi les Wildhammer étaient de passage à Forgefer. Il décida donc d'aller les voir.
La rumeur était vrai. Les Wildhammer étaient la. Mograd bava devant leurs amures, devant leurs griffons... Il essaya de se frayer un chemin dans la foule pour les atteindre mais au moment ou il arriva devant l'un des membres, ils prirent tous leurs envols.
Mograd soupira... Il se mit à réfléchir longuement, et prit la décision d'acheter un bélier et de partir à la recherche de se clan ayant appartenu à sa mère.
Une douce nuit, identique à celle de sa naissance, il prépara ses affaires et partit sans dire au revoir. Il accrocha une hache sur son dos et avança la tête baissée. Il ne pouvait plus faire demi tour à présent.
Deux semaine passa et il arriva enfin devant la citadelle des Wildhammer. Il descendit de sa monture et il avança calmement vers l'un des gardes surveillant l'entrée. Il failli trembler en parlant mais il se retenu. Il leur parla en nain.
"Bien le bonsoir. j'aimerais parler à votre chef, je souhaite vous rejoindre."
Il espéra que les nains allaient répondre dans le même langage que lui car il avait beaucoup de mal à parler l'humain. Tout le monde à ses défaut se dit-il...